Valise Vintage Louis Vuitton Bisten 80 Toile Monogram France - Paris, des Années 1970

Paris Années 1990

Valise rigide Louis Vuitton modèle Bisten 60 en toile monogram iconique, datant des années 1990. L'intérieur est doublé, la poignée est en cuir ; les coins sont en laiton et les bords sont en lozine, une fibre volcanique très résistante. Serrure originale en forme de S, renforcée par deux serrures supplémentaires inspirées des serrures de coffre (clé manquante). L0état est très bon, malgré quelques très légères marques. À l’intérieur, il y a l’étiquette authentique portant le numéro de produit unique (979452). Modèle actuellement hors production. Les produits, meubles et objets de collection Louis Vuitton, sont résistants et imperméables.

Petite mallette en cuir et toile vulcanisée du début des années 1900. Les conditions sont bonnes ; Il montre quelques signes de vieillissement. Objet et meuble de collection.

Paris 2012

Valise Louis Vuitton Monogram Idylle Pegase 55. Tissu monogram rose-sépia, finitions en cuir bordeaux, zip et empiècements en métal doré. Intérieur doublé d'une doublure bordeaux, étiquette en cuir "Louis Vuitton Paris" et étiquette Data Code (SR0112). Livré avec housse de protection ; paire de cadenas et clés respectives absentes. L'état est très bon, malgré quelques très légères marques.

Valise Gucci en toile monogrammée beige avec garniture en peau de porc marron. Il s'agit d'un objet rare pour les collectionneurs, probablement né comme un sac pour transporter des bottes lors d'un voyage. La bande centrale en vert et rouge nous ramène aux couleurs historiques de la Maison. Il présente quelques petits défauts : des taches et un zip arrière à remplacer.

Sac de voyage signé Gucci vers la fin des années 1950 et très bien conservé dans le temps. Il est en toile monogrammée blanche et bleue avec une bordure en cuir bleu foncé. Les deux bandes sont en tissu bleu et rouge. Il s'agit d'un objet destiné aux collectionneurs, mais peut également être utilisé aujourd'hui.

Malle armoire vers 1905, en bois recouvert de chanvre, bordures en peu de porc, renforts, profil et montants en métal. Une fois ouverte, la malle devient une véritable armoire à deux portes, avec cintres et cinq tiroirs. Les poignées des tiroirs sont en cuir avec initiales gravées. Les conditions sont très bonnes; il y a possibilité de restauration, avec rajout de poignées, nettoyage et cirage de la toile qui s'est pourtant bien conservée dans le temps. La malle est de grande facture, dans la tradition de la marque parisienne Goyard. Goyard Paris est l'une des marques les plus importantes au monde depuis deux cents ans maintenant. Dès la fin du XVIIIe siècle, il commence à produire des malles en pièces uniques et entièrement faites à la main avec la Maison Martin, qui crée des emballages de qualité pour les objets de valeur. François Goyard est engagé comme apprenti à la Maison en 1845, pour ensuite en prendre la direction et la transmettre à son fils Edmond. Au fil des ans, les malles ont continué à suivre les normes les plus élevées et les plus rigoureuses. Cette pièce, meuble ou collection, peut être restaurée sur demande.

Malle de voyage Goyard Paris des années 1920. C'est une commode rare : une fois le couvercle et la façade ouverts, on trouve trois grands tiroirs devant nous : à l'époque c'était un moyen de ranger les vêtements jusqu'à destination, malgré les longs voyages transocéaniques. La rareté est également donnée par la couleur noire, obtenue en recouvrant le bois de papier ciré, qui servait à le protéger de l'eau. Les bordures sont en lousine et les angles et poignées en laiton, détails et clous en bronze. Goyard Paris est l'une des marques les plus importantes au monde depuis deux cents ans maintenant. Dès la fin du XVIIIe siècle, il commence à produire des malles en pièces uniques et entièrement faites à la main avec la Maison Martin, qui crée des emballages de qualité pour les objets de valeur. François Goyard est engagé comme apprenti à la Maison en 1845, pour ensuite en prendre la direction et la transmettre à son fils Edmond. Au fil des ans, les malles ont continué à suivre les normes les plus élevées et les plus rigoureuses. Cette pièce, meuble ou collection, peut être restaurée sur demande.

Malle de voyage du début des années 1900, pièce très particulière et rare car c'est une petite malle armoire. Les malles armoires de l'époque sont généralement beaucoup plus volumineuses. Il peut s'agir d'une valise pour enfant, ou plus facilement d'une valise pour quelques jours de voyage. L'intérieur est recouvert de papier et a encore les cintres en bois d'origine. l'extérieur est en parchemin, avec des détails et des clous en métal doré (la dorure est souvent tombée) et montre quelques autocollants des voyages effectués.

Malle début des années 1900 en cuir.. La marque Au Départ, l'un des noms les plus populaires de la maroquinerie française à la fin des XIXe et XXe siècles, est encore aujourd'hui synonyme de luxe, de raffinement et de qualité. L'intérieur est en tissu; l'extérieur montre des signes du temps et du voyage.

Malle en cuir datant du début des années 1900 par Finnigan Makers Manchester, une marque devenue célèbre pour sa maroquinerie et sa sellerie dès le milieu du XIXe siècle. C'est une malle de haute qualité, créée par l'une des meilleures entreprises britanniques de l'époque; il a certainement beaucoup voyagé et montre donc des traces de temps et d'usure. Les initiales H.D.P. que l'on retrouve sur le coffre, c'est la reconnaissance du premier propriétaire, qui pouvait ainsi reconnaître ses bagages lors de voyages et de traversées. Il est possible de l'acheter individuellement ou avec d'autres identiques.

Malle en cuir datant du début des années 1900 par Finnigan Makers Manchester, une marque devenue célèbre pour sa maroquinerie et sa sellerie dès le milieu du XIXe siècle. C'est une malle de haute qualité, créée par l'une des meilleures entreprises britanniques de l'époque; il a certainement beaucoup voyagé et montre donc des traces de temps et d'usure. Les initiales H.D.P. que l'on retrouve sur le coffre, c'est la reconnaissance du premier propriétaire, qui pouvait ainsi reconnaître ses bagages lors de voyages et de traversées.